Le bilan du troisième trimestre de la Française des jeux (FDJ) présente une croissance de 12 %. Il s’agit d’un chiffre qui dépasse de 8 % les prévisions faites en début d’année. Pris à part, les revenus de la loterie présentent une croissance de 14 % par rapport à l’année dernière (l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 478 millions d’euros soit 467 millions de dollars). Le montant des recettes des paris sportifs n’a pas changé de celui de l’an passé (l’entreprise enregistre 97 millions d’euros de recettes). Les recettes des autres services proposés sont passées de 3 millions d’euros (2,92 millions de dollars) à 18 millions d’euros (17,48 millions de dollars), les ventes au niveau des canaux de distribution physique et en ligne ont grimpé respectivement de 6 % et 35 %.

12 % de croissance, un chiffre inattendu

La Française des jeux (FDJ), opérateur national de jeux d’argent de France, vient de publier son rapport du troisième trimestre de 2022. Celui-ci présente un bilan positif et une augmentation de 12 % des revenus. C’est une belle réalisation par rapport aux chiffres de l’année dernière. Il s’agit en effet d’une croissance importante dans la mesure où cette société s’attendait juste à une hausse de son revenu à 5 %. De façon précise, l’objectif annuel a été surpassé de 8 % et il reste encore 3 mois pour continuer de réaliser des exploits.

Grâce à ces recettes, l’entreprise gagne une longueur d’avance et se positionne sur une bonne marge pour exprimer son bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (EBITDA). Celui-ci se rapproche de la barre des 24 % ; ce qui est légèrement au-dessus des prévisions initiales de début d’année. À l’issue de cette réalisation, Stéphane Pallez, directeur général et président du groupe FDJ, évoque une politique commerciale basée sur une forte dynamique. Celle-ci avait déjà été actionnée dès le début de l’année 2023 ; elle s’est donc poursuivie jusqu’à ce troisième trimestre. Il a également précisé que la société dont il a la charge est satisfaite du rendement.

Des activités fructueuses et des programmes bien structurés

La FDJ jouit des droits exclusifs pour la proposition des offres de loterie depuis 25 ans. Elle offre également d’autres produits de premier ordre comme les paris sportifs. Depuis le lancement de Niro, service de paiement qui transforme les factures des joueurs en code QR, les activités de cette société s’améliorent. Aussi, cet opérateur de jeu a aussi annoncé sa volonté d’acquérir la marque de courses et de paris hippiques ZEturf. Cette entreprise s’est engagée avec la Fondation du Patrimoine pour restaurer le site de Paris Young Men’s Christian Association/YMCA Paris. Le montant du don était évalué à 1,26 million de dollars.

Concernant donc les revenus générés par la loterie seulement, les chiffres sont performants. En tenant compte du nombre élevé du montant des jackpots, cet opérateur a réalisé une croissance de 14 %. Les résultats présentent un montant de 478 millions d’euros soit 467 millions de dollars. Cependant, les revenus des activités de paris sportifs n’ont pas trop changé par rapport aux chiffres de l’an passé. L’entreprise enregistre un chiffre d’affaires de 97 millions d’euros à ce niveau. Mais, il est bien probable qu’avec la coupe du monde qui s’annonce dans quelques semaines, un bon résultat soit atteint. Les recettes des autres activités de la Française des jeux ont aussi grimpé. Elles sont quittées de 3 millions d’euros (2,92 millions de dollars) pour atteindre 18 millions d’euros (17,48 millions de dollars). Au niveau des recettes réalisées au par les canaux de distribution, un bon résultat se présente. Les ventes au niveau des points physiques ont progressé de 6 % et celles effectuées en ligne de 35 %.

Le 17 novembre, la FDJ compte organiser un événement qui regroupera les investisseurs autour d’une table. Prendront part à cette occasion : des experts du domaine et les opérateurs économiques les plus motivés par le désir de développement de l’industrie des jeux d’argent. Les débats seront axés sur les objectifs de croissance, la mise en place des stratégies financières et extrafinancières à moyen terme.

L’opérateur français FDJ lance Wizz, une application qui peut faire gagner jusqu’à 100 000 €. Elle est pour le moment disponible uniquement sur iOS. Les utilisateurs d’Android pourront bientôt l’utiliser pour jouer aux jeux instantanés avec des jetons.

Une application disponible sur iOS et bientôt sur Android

La Française Des Jeux (FDJ) met sur le marché Wizz, une nouvelle application multijoueur qui peut faire gagner aux joueurs jusqu’à 100 000 €. Le fonctionnement de cette application est basé sur un système de jetons permettant aux joueurs de rivaliser dans des jeux multijoueurs, dans le but de gagner des jetons et ensuite de parier dans le jeu La Roue (The Wheel) dans le but d’empocher jusqu’à 100 000 €.

Cette application, actuellement disponible seulement sur iOS et bientôt sur Android, est accessible aux joueurs âgés de 18 ans au moins. La FDJ est constamment à la recherche des solutions innovantes pour une nouvelle génération de jeunes joueurs. La société a déclaré dans un communiqué officiel vouloir élargir les expériences de jeu disponibles dans son portefeuille numérique. Leur objectif étant de leur proposer une offre de jeu diversifiée et responsable. Au-delà de la satisfaction de ses clients, le groupe veut surtout répondre aux exigences émises par les autorités du marché.

Des jetons permettant de gagner de l’argent réel

Avec la nouvelle application Wizz, les joueurs peuvent accéder à l’ensemble du catalogue des jeux de la FDJ. Pour ce faire, ils utiliseront les jetons obtenus dans les jeux. Chaque joueur qui s’inscrit nouvellement sur la plateforme va bénéficier d’abord de dix jetons. Avec les jetons obtenus, ils peuvent participer à une pléthore de jeux instantanés parmi lesquels Zanzibar, Safe et Insane Totem. Les joueurs ont aussi l’opportunité d’utiliser les jetons et de les convertir en argent réel avec La Roue. Le montant global des gains proposés sur The Wheel s’élève à 100 000 €.

Pour bénéficier des devises supplémentaires leur permettant de jouer, les joueurs peuvent acheter d’autres jetons dans la boutique intégrée à l’appli. Le montant des jetons va varier de 0,5€ à 20€ pour des forfaits compris entre 5 et 200 jetons. Le développement de cette application répond aux besoins du groupe de diversifier l’expérience de jeu de ses clients et surtout de sa volonté de rester en conformité avec l’industrie numérique.

Pour plus de commodité, les différentes plateformes de Wizz et de la Française des Jeux ont été rattachées. Une valeur ajoutée pour leur offre globale puisque désormais les joueurs peuvent passer facilement d’une option de jeu à une autre. Le Groupe FDJ a joué un rôle prépondérant dans le pilotage du marché des jeux d’argent en France. Nirio est l’option de paiement le plus récent que la société a développé pour simplifier l’intégration et les paiements.

Le 28 septembre dernier, la Française des jeux vient de publier un communiqué indiquant qu’elle vient de déployer une nouvelle solution de paiement en étroit partenariat avec la Confédération française des buralistes. Celle-ci s’intitule Nirio et permet aux familles de l’Hexagone d’effectuer le paiement de leurs factures au sein des points de vente en question.

La praticité et l’efficacité au premier plan

La solution Nirio offre aux Français la possibilité de réaliser les versements mensuels touchant un certain nombre de besoins comme l’électricité ou encore le loyer. La transaction se déroule dans l’ensemble des hubs de paiements agréés par l’opérateur. D’un autre côté, les joueurs pourront choisir cette application afin de scanner les factures ou les amendes éventuelles. Lors de son fonctionnement, l’application procurera un code QR pour le processus de paiement. Il faut présenter ce code à l’un des points de paiement du réseau en vue de régler en espèces ou par carte bancaire. Le consommateur recevra un reçu prouvant le paiement.

Cette option de paiement constitue une excellente alternative réduisant les déplacements et les tâches liées aux factures. La solution permet aux citoyens français de préserver toutes les informations en un seul établissement. D’ailleurs, la FDJ indique que plus de six millions de foyers en France ne sont pas enthousiastes à l’idée de favoriser le prélèvement automatique. Grâce à cette initiative, les joueurs auront accès à un mode de paiement intuitif et fiable.

Une solution de paiement dédiée aux particuliers

En tout, 10 000 partenaires de la Française des Jeux ont déposé une demande d’intégration de Nirio en tant que solution de paiement. Jusqu’à maintenant, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution a approuvé plus de la moitié des différentes requêtes. Parmi elles, il y a celle de Sequens, une entreprise de logement social. Désormais, les clients de la société ont l’occasion d’user de Nirio pour payer leur loyer.

Selon le directeur de la stratégie, de l’innovation et des nouvelles activités de la Française des Jeux, Raphaël Botbol, le paiement des factures place en priorité le côté humain. Il a estimé que Nirio demeure un moyen rapide et pratique pour certaines personnes souhaitant gagner du temps. Le dirigeant a déclaré que la solution cible essentiellement les consommateurs qui habitant loin des zones urbaines ou qui ne désirent pas payer par le biais des supports numériques.

En France, la FDJ reste l’une des plus importantes marques de jeux d’argent en dominant le secteur des loteries. Dernièrement, l’opérateur a émis son intention de s’accroître dans d’autres marchés verticaux. Dans cet objectif, il prévoit de racheter le leader des courses hippiques ZEturf en entamant les premières négociations. Étant une société de loterie et de jeux, la Française des Jeux optimise ses contributions sur le plan social. Récemment, l’entreprise a annoncé le lancement de la cinquième édition de Mission Patrimoine. Les fonds collectés seront reversés à la restauration et au réaménagement d’édifices historiques et emblématiques. Toujours dans ce cadre, la FDJ collabore avec la Fondation du Patrimoine dans le but de financer la rénovation de YMCA Paris.

Au Royaume-Uni, GamCare a entrepris de mener une étude dans le but de démontrer que le fait d’offrir les cartes à gratter aux enfants dès leur plus jeune âge pouvait entraîner des conséquences néfastes dans leur vie future. Tout au long de l’enquête, il a été révélé que ce sont les enfants des parents qui présentent des problèmes de jeu qui sont les plus exposés. Toutefois, il a été également révélé que des parents normaux et des parents qui ne jouent pas offrent aussi des cartes à gratter à leurs enfants. GamCare a prévenu que cette exposition peut pousser les jeunes adultes à découvrir d’autres jeux plus addictifs et encore plus dangereux pour eux.

Les enfants des joueurs problématiques seraient les plus exposés

Vu la vitesse à laquelle se développe l’industrie des jeux d’argent et de hasard, il est plus que jamais nécessaire de mettre l’accent sur la protection des plus jeunes. C’est dans cette optique que GamCare qui est une organisation caritative britannique a mené une étude il y a peu de temps de cela. L’étude avait pour but de mettre en lumière le fait que les parents offrent des cartes à gratter en guise de cadeau à leurs enfants.

L’étude portait sur 4 000 personnes dont 500 étaient des adolescents âgés de 14 et 15 ans et le reste était des adultes et parents. Au cours de l’étude, les enquêteurs ont pu démontrer que c’étaient les enfants des parents qui font face aux problèmes de dépendance aux jeux qui étaient les plus exposés.

À ce propos, 38 % des parents interrogés ont effectivement confirmé qu’ils ont déjà un jour acheté des cartes à gratter à leurs enfants. Toutefois, les parents considérés comme des joueurs modérés et d’autres qui ne jouent même jamais font aussi la même chose avec leurs enfants. Selon YouGov un organe de presse locale, ce pourcentage s’élève à 5 %.

Cependant, les joueurs compulsifs qui achètent des cartes à gratter à leurs enfants s’élèvent à 22 %, tandis que les joueurs qui ne présentent aucun problème, mais qui achètent quand même des cartes à gratter à leurs enfants s’élèvent à 8 % toujours selon YouGov. Il est donc tout à fait possible qu’il existe un lien entre l’intensité du jeu et la probabilité de développer un comportement de jeu problématique.

Les cartes à gratter sont une porte d’entrée vers les troubles liés au jeu problématique

Bien qu’il soit discutable que jouer aux cartes à gratter ne provoque pas vraiment une dépendance, l’étude menée par GamCare a permis de démontrer que cette forme de jeu constitue une portée d’entrée vers d’autres jeux plus addictifs qui à la longue pourront avec certitude être à l’origine des troubles liés aux jeux.

L’organisation caritative a tenu à préciser que le fait d’offrir des cartes à gratter aux enfants est susceptible de créer des conséquences graves dans leur vie même si cela n’arrive pas immédiatement. Elle interpelle les parents à réfléchir sur le fait que cette forme de jeu peut ouvrir la voie à d’autres possibilités.

À ce sujet, GamCare a fait une observation selon laquelle la plupart des joueurs à problème rencontrés au Royaume-Uni font partie de la catégorie des enfants qui ont été dès leur plus jeune âge exposés aux jeux de hasard sous ses différentes formes. Alexa Roseblade a déclaré que c’est très rare qu’ils reçoivent des appels pour signaler une dépendance aux cartes à gratter. Ceci permet donc de confirmer qu’effectivement cette forme de jeu ne représente pas au 1^er degré un grand problème pour la population.

D’ailleurs, il n’y a que 4 % des appelants qui déclarent commencer à être dépendants aux cartes à gratter. Mais comme précisé plus haut et confirmé par Rosa, une fois que les enfants découvrent les cartes à gratter, ils peuvent facilement s’orienter vers d’autres jeux en pensant qu’ils ne risquent rien. C’est leur naïveté qui va par la suite les détourner du droit chemin

Revenant sur l’étude menée par GamCare, il se peut que 27 % des adolescents interrogés aient avoué qu’ils jouent souvent aux cartes à gratter soit avec leurs amis, soit avec leurs parents. C’est cette normalisation qui invite les jeunes adultes à tomber dans les problèmes de jeu qui nuiront gravement leur vie future.

Pendant ce temps, des études similaires ont été menées dans d’autres juridictions comme l’Australie. Ces études ont permis de démontrer qu’il existe des liens entre le fait d’exposer les enfants aux produits de jeux dès leur plus jeune âge et le risque que ces derniers développent plus tard des comportements addictifs face à ces produits.

La question des risques que représentent les cartes à gratter est intervenue au même moment que le débat sur l’interdiction ou non des boîtes à butin. À ce sujet, GambleAware a interpellé le gouvernement sur la nécessité d’établir une réglementation à ce sujet.

L’opérateur de jeu de loterie nationale en France, la FDJ vient d’annoncer la mise sur le marché de nouvelles cartes à gratter dans le cadre de la formule Mission Patrimoine. En effet, la Française des Jeux se lance dans une nouvelle version de cette initiative visant à protéger et à restaurer le patrimoine culturel du pays. Dans cette optique, une partie des profits sera dédiée à la protection et à la rénovation des principaux sites sélectionnés.

La cinquième édition du projet

Même si le jeu de grattage Mission Patrimoine a récemment été sanctionné par l’Autorité Nationale des Jeux, ce jeu remporte un franc succès auprès des Français avec une cinquième édition qui promet d’être intéressante. La FDJ poursuit sa quête et consent à atteindre ses objectifs pour protéger au mieux le patrimoine culturel français. En 2021, l’opérateur a versé une donation à hauteur de 28 millions d’euros destinés à ces sites emblématiques. Cette année, la nouvelle formule se portera sur des nouveautés en termes de cartes à gratter. La sélection intègre trois versions qui illustrent des résidences françaises typiquement traditionnelles en bois, en pierre et en brique. Concernant le coût du ticket, il s’élève à 15 euros tandis que les bénéfices devraient atteindre 1,5 million d’euros. Quant au prélèvement sur les mises pour l’Etat, la somme de 1,83 euro sera consacrée à la Fondation.

En tout, l’opérateur prévoit d’effectuer 7 tirages du Loto comprenant un tirage du Super Loto qui aura lieu le 16 septembre prochain. Celui-ci offre aux parieurs un jackpot minimum de 13 millions d’euros environ. La plupart de l’argent des tirages du Loto et des cartes Mission Patrimoine constituent un financement conséquent pour la restauration des anciennes infrastructures culturelles du territoire.

Une contribution en continu pour la Fondation du Patrimoine

Comme les précédentes versions, cette cinquième campagne de la FDJ est soutenue par le ministère français de la Culture. Le but est de financer les projets de la Fondation du Patrimoine, une association non-lucrative privilégiant la conservation du patrimoine national français. Actuellement, la Mission Patrimoine permettra à l’exploitant de récolter les fonds nécessaires destinés à la sauvegarde de 118 sites incluant 18 lieux emblématiques. Du côté des chiffres, la Française des Jeux réserve un montant spécifique pour chaque billet et chaque grille pendant le Super Loto.

Officiellement, la FDJ demeure le principal partenaire de la Fondation du Patrimoine avec un accord qui devrait expirer au cours de l’année 2024. En attendant, l’opérateur envisage peut-être de lancer une autre édition pendant l’année 2023. D’après les termes de cette collaboration entre les deux parties, le groupe est dans l’obligation de reverser la somme de 500 000 euros à l’un des projets de l’organisation chaque année. Par la même occasion, la Fondation d’entreprise sponsorise la Fondation du Patrimoine affichant une subvention annuelle d’une valeur de 200 000 euros.

Récemment, la FDJ a publié ses résultats semestriels avec des revenus plutôt prometteurs après une période difficile due à la crise sanitaire. Depuis 2018, le groupe et sa Fondation ont apporté des financements de près de 3 millions d’euros aux divers projets de la Fondation du patrimoine.